Plus précisément, si un comité vote pour citer quelqu'un pour outrage au comité, une résolution sera transmise à la salle plénière. La Chambre plénière, la Chambre ou le Sénat, peut alors l'adopter ou non. Si la salle entière adopte la résolution, il existe plus d'une option pour la faire respecter.
Bien qu'elle n'ait pas été utilisée depuis le début du siècle dernier, une chambre peut envoyer elle-même son sergent d'armes pour arrêter l'individu condamné pour outrage.
Pour suivre la voie des poursuites pénales, l'affaire serait spécifiquement renvoyée au procureur américain du district de Columbia, qui a le «devoir» de renvoyer l'affaire devant un grand jury. Cela dit, parce qu'il y a des désaccords sur le pouvoir exécutif (à savoir les partisans d'une "théorie de l'exécutif unitaire" faisant valoir qu'obliger le procureur américain à tenir quelqu'un pour outrage revient à contraindre le président lui-même à faire quelque chose qui serait une violation de la séparation des pouvoirs) que le «devoir» n’est pas toujours respecté.
Enfin, le conseiller juridique du Sénat peut être invité à intenter une action civile contre un individu reconnu coupable d'outrage. Le tribunal de district fédéral, sur motion du Sénat, émettrait une autre ordonnance enjoignant à l'individu de se conformer au Sénat. Si rien ne se passe, la personne peut être déclarée coupable d'outrage au tribunal.